Zone de Texte: Roosevelt eut beaucoup de difficultés
Pour faire admettre
Le News Deal

L’erreur des fonctionnaires de la mondialisation, 
fut d’ignorer l’exemple de la vertu du New Deal 
et 
la liberté des nations. 

Zone de Texte: CSVA

Avec la CSVA,
 les salariés bénéficieraient d’une augmentation 
De leur pouvoir d’achat de 15% le jour J de la réforme .

La reprise économique faciliterait la relocalisation
d’ un quart de nos importations.
 
L’augmentation du pouvoir d’achat de plein emploi
pourrait alors progresser jusqu'a + 30 %

Zone de Texte: Avec la CSVA

Le salarié toucherait le salaire brut
&
Par la loi, l’entreprise baissera obligatoirement ses prix HT
 (Contrôles et sanctions prévus)
Zone de Texte: LES SALARIES PORTEURS DE PARTS DE CAPITAL                          ATTRIBUEES GRATUITEMENT PEUVENT S’ORGANISER. 
LA GESTION collective des capitaux, contrôlée par les citoyens réunis en Commissions de Contrôle de Gestion, et par les commissaires aux comptes, sous leur responsabilité réciproque, sera meilleure que celle d'un petit boursicoteur. 
Les salaries et les retraités actionnaires (directement ou par un syndicat ou une association) détiendraient un droit capitaliste légal de contrôler les grandes entreprises et de disposer de poste d'administrateurs (en tant que syndicat ou association et non en tant que des individus) au sein du conseil d'administration avec obligation légale de rendre compte aux mandants/adhérents. 
Pour les salariés, il s'ensuivrait une possibilité de contrôler (en partie) non seulement la gestion des entreprises mais aussi la qualité des rapports humains entre l'entreprise et ses salariés. 
Enfin, je rappelle que le code de la mutualité dispose que les administrateurs doivent être bénévoles et qu’ils ne peuvent prendre aucun intérêt direct ou indirect dans la mutuelle (ou des fournisseurs avec qui elle traite). Si l’on déroge, on prend le risque de voir ce qui s’est passé à la MNEF (et d’aller en prison sans compter les remboursements dus et les amendes). 
Au point où nous en sommes de l'évolution capitaliste du monde dans les pays civilisés comme le nôtre, je ne vois aucun autre moyen légal et naturel d'humaniser l'entreprise tout en garantissant l'avenir de ceux qui, justement, assurent l'avenir des entreprises et du pays, avenir qui leur échappe totalement actuellement (au profit des actionnaires dont ils ne font pas partie). 
A mon avis, ils ont droit (ainsi que leur famille) à participer à l'essor des entreprises en général (je dis des entreprises en général, car il est hors de question que le capital du salarié soit étroitement lié à sa propre entreprise. « Il est prudent de ne pas mettre tous les œufs dans le même panier » de sorte que si l'entreprise venait à faire de mauvaises affaires, le capital soit préservé par la diversité les dispositions légales. L’organisation en syndicats de porteurs de parts pourrait faciliter la diversification.
Ce système avec exemption d'impôts (en faveur des placements à long terme - de père de famille -  stabiliserait nos entreprises au contraire de la fiscalité forte pour les plus-values spéculatives perturbant les marchés.
Une politique du rendement des actions au lieu de celle qui pousse aux plus-values boursières virtuelles, donnerait aux nations (en tout cas à la France) plus de stabilité dans le capital nécessaire au développement par le progrès. 
Dans tous les cas, il convient effectivement de déjouer "les sens cachés, tous les stratagèmes les plus ambitieux et les plus tordus".... Comme tu l’exprimes très justement. 
Il me semble qu'il est exagéré de dire que " La plupart des employés DE PORTEURS DE PARTS DE CAPITAL. 
LA GESTION collective des capitaux, contrôlée par les citoyens réunis en Commissions de Contrôle de Gestion, et par les commissaires aux comptes, sous leur responsabilité réciproque, sera meilleure que celle d'un petit boursicoteur. 
Les salaries et les retraités actionnaires (directement ou par un syndicat ou une association) détiendraient un droit capitaliste légal de contrôler les grandes entreprises et de disposer de poste d'administrateurs (en tant que syndicat ou association et non en tant que des individus) au sein du conseil d'administration avec obligation légale de rendre compte aux mandants/adhérents. 
Pour les salariés, il s'ensuivrait une possibilité de contrôler (en partie) non seulement la gestion des entreprises mais aussi la qualité des rapports humains entre l'entreprise et ses salariés. 
Enfin, je rappelle que le code de la mutualité dispose que les administrateurs doivent être bénévoles et qu’ils ne peuvent prendre aucun intérêt direct ou indirect dans la mutuelle (ou des fournisseurs avec qui elle traite). Si l’on déroge, on prend le risque de voir ce qui s’est passé à la MNEF (et d’aller en prison sans compter les remboursements dus et les amendes). 
Au point où nous en sommes de l'évolution capitaliste du monde dans les pays civilisés comme le nôtre, je ne vois aucun autre moyen légal et naturel d'humaniser l'entreprise tout en garantissant l'avenir de ceux qui, justement, assurent l'avenir des entreprises et du pays, avenir qui leur échappe totalement actuellement (au profit des actionnaires dont ils ne font pas partie). 
A mon avis, ils ont droit (ainsi que leur famille) à participer à l'essor des entreprises en général (je dis des entreprises en général, car il est hors de question que le capital du salarié soit étroitement lié à sa propre entreprise. « Il est prudent de ne pas mettre tous les œufs dans le même panier » de sorte que si l'entreprise venait à faire de mauvaises affaires, le capital soit préservé par la diversité les dispositions légales. L’organisation en syndicats de porteurs de parts pourrait faciliter la diversification.
Ce système avec exemption d'impôts (en faveur des placements à long terme - de père de famille -  stabiliserait nos entreprises au contraire de la fiscalité forte pour les plus-values spéculatives perturbant les marchés.
Une politique du rendement des actions au lieu de celle qui pousse aux plus-values boursières virtuelles, donnerait aux nations (en tout cas à la France) plus de stabilité dans le capital nécessaire au développement par le progrès. 
Dans tous les cas, il convient effectivement de déjouer "les sens cachés, tous les stratagèmes les plus ambitieux et les plus tordus".... Comme tu l’exprimes très justement. 
Il me semble qu'il est exagéré de dire que " La plupart des employés PORTEURS DE PARTS DE CAPITAL. 
LA GESTION collective des capitaux, contrôlée par les citoyens réunis en Commissions de Contrôle de Gestion, et par les commissaires aux comptes, sous leur responsabilité réciproque, sera meilleure que celle d'un petit boursicoteur. 
Les salaries et les retraités actionnaires (directement ou par un syndicat ou une association) détiendraient un droit capitaliste légal de contrôler les grandes entreprises et de disposer de poste d'administrateurs (en tant que syndicat ou association et non en tant que des individus) au sein du conseil d'administration avec obligation légale de rendre compte aux mandants/adhérents. 
Pour les salariés, il s'ensuivrait une possibilité de contrôler (en partie) non seulement la gestion des entreprises mais aussi la qualité des rapports humains entre l'entreprise et ses salariés. 
Enfin, je rappelle que le code de la mutualité dispose que les administrateurs doivent être bénévoles et qu’ils ne peuvent prendre aucun intérêt direct ou indirect dans la mutuelle (ou des fournisseurs avec qui elle traite). Si l’on déroge, on prend le risque de voir ce qui s’est passé à la MNEF (et d’aller en prison sans compter les remboursements dus et les amendes). 
Au point où nous en sommes de l'évolution capitaliste du monde dans les pays civilisés comme le nôtre, je ne vois aucun autre moyen légal et naturel d'humaniser l'entreprise tout en garantissant l'avenir de ceux qui, justement, assurent l'avenir des entreprises et du pays, avenir qui leur échappe totalement actuellement (au profit des actionnaires dont ils ne font pas partie). 
A mon avis, ils ont droit (ainsi que leur famille) à participer à l'essor des entreprises en général (je dis des entreprises en général, car il est hors de question que le capital du salarié soit étroitement lié à sa propre entreprise. « Il est prudent de ne pas mettre tous les œufs dans le même panier » de sorte que si l'entreprise venait à faire de mauvaises affaires, le capital soit préservé par la diversité les dispositions légales. L’organisation en syndicats de porteurs de parts pourrait faciliter la diversification.
Ce système avec exemption d'impôts (en faveur des placements à long terme - de père de famille -  stabiliserait nos entreprises au contraire de la fiscalité forte pour les plus-values spéculatives perturbant les marchés.
Une politique du rendement des actions au lieu de celle qui pousse aux plus-values boursières virtuelles, donnerait aux nations (en tout cas à la France) plus de stabilité dans le capital nécessaire au développement par le progrès. 
Dans tous les cas, il convient effectivement de déjouer "les sens cachés, tous les stratagèmes les plus ambitieux et les plus tordus".... Comme tu l’exprimes très justement. 
Il me semble qu'il est exagéré de dire que " La plupart des employés Il faut rajouter à cela les factures téléphone, gaz, électricité et eau (qui coûte très cher ici) ... je n’ai pas les chiffres en tête. 
Snip                           


Réponse de RLC  à  ALINOE.
Si je comprends bien, il resterait environ 40 000 $ an pour 
l'essence, l'entretien de la voiture (une ou deux ?) le téléphone, gaz/électricité, eau, les loisirs + épargne. Combien estimez-vous pouvoir épargner, au juste ? 


Réponse d’«Alinoe » 
Il y a bien 2 voitures, et ce que j'ai oublie de dire, c'est que nous avons chacun une "car allowance" (prime de 600 $ par mois qui couvrent complètement ce que nous dépensons pour celles-ci - sauf peut-être l'essence... compter 20-30 $ par semaine dans chaque voiture). 
On ne comptait pas épargner... Ce qu'on gagne ici, nous permet de vivre largement bien (on n'avait jamais eu 2 voitures neuves en France !!), et de continuer à payer les traites pour la maison qu'on a fait construire en France (environ 6000 FRF/mois... tiens, je l'avais oublié celle-là aussi !). 
Nous y avons surtout vu une opportunité de travailler sur des technologies plus porteuses (que celles sur lesquelles nous travaillions en France) et d'apporter ce + à nos CVs respectifs. 
A tout cela il faut aussi compter qu'on a eu : 2 primes de mutation (15000$ chacune) + 6000 stocks options + les déménagements payés (dans le sens France - USA au début de notre affectation et dans le sens USA - France a la fin de notre affectation (minimum 2 ans, maximum 5 ans)) + un aller/


2eme Réponse de RLC à Alinoé qui travaille en Californie et nous a donné des renseignements sur le coût de la vie
:En somme, les 6 000 stocks options reçues et le financement de votre maison en France (6 000 FRF / mois), c'est de l'épargne, ce qui ne vous gêne en rien pour bien vivre en Californie.

Mais, s’il n’y avait qu'un seul salaire, ce serait serré.
Il est vrai aussi que la Californie est un État où la vie est plus chère que dans d’autres États des USA. Cordialement 

Réponse de RLC à tous, à propos du prix Nobel Maurice ALLAIS: Merci à tous et à toutes pour ces informations. Je vous ai déjà répondu assez positivement concernant la proposition du prix Nobel Tobin. J'ai dit que le taux dont on m'a parlé me parait faible et que je préfèrerais   une forte imposition sur les plus-values à court terme pour décourager la SPECULATION qui est UN CANCER et encourager les placements à long terme pour moraliser le CAPITAL OUTIL DE CIVILISATION DONT NOTRE PAYS A BESOIN CAR SANS CAPITAL PAS DE PROGRES POSSIBLES ET L’ON EST DEVANCE PAR LA CONCURRENCE
Mais au fait, en France, nous avons un prix Nobel d'économie, : Il y a bien longtemps qu'il exprime des choses intéressantes sur le mal du libre échange exagéré , sur le danger des variations des taux de changes sans rapport avec les besoins de l’économie réelle, les dangers de la spéculation, l'interdiction qui devrait être faite d'emprunter pour acheter des actions et de vendre ( à découvert) des actions sans les détenir. 
Bien qu’il soit Français et qu'il ait presque tout écrit en français, il est plus connu à l'étranger qu'en France. 
Je suspecte une grande jalousie de la part de ceux qui se disant économistes, le dénigrent en France ( sans doute à cause du prix Nobel qu’ils n’ont pas reçu). Les gens de droite disent qu'il est de gauche et ceux de gauche disent qu'il est de droite. C’est idiot et bien navrant pour la France , d’autant que gauche et droite veuille plus rien dire, à part pour se faire élire.
Il y a bien longtemps que Maurice ALLAIS s'est prononcé contre la mondialisation/exclusion et notamment contre le libre échange qui ouvre l’Europe « à tous les vents de la concurrence » selon ses propres termes. Il s’est élevé contre le traité de Maastricht.  
Certes, Maurice Allais ne s’est pas prononcé sur les fonds de pension. Mais il a écrit un petit livre exemplaire : « Pour la réforme fiscale »  Clément Juglar 1990. 

Ce petit livre m’a fait penser à une autre façon de concevoir le financement de la protection sociale et notamment la RETRAITE PAR REPARTITION menacée par le déséquilibre démographique mais qu’il faut absolument préserver au même niveau en s’arrêtant de ponctionner ceux qui travaillent pour toute la nation .

Ainsi, appliquant une de ses idées fiscales, j’ai pensé au transfert du financement social de l’emploi sur la consommation (ce qui encourage le travail) et fait financer le social par les importations et les produits des machines intelligentes qui mettent les hommes au chômage ne laissant les cotisations sociales qu’ à la charge de ceux qui ont un travail pas assez rémunérateur à cause de toutes les ponctions fiscales et sociales décourageantes.

 

CSVA

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