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Zone de Texte: LA SANTE 
Raoul louis CAYOL
La maîtrise de toutes les dépenses déstabilise elle aussi l’économie entrée dans la somnolence. 
On rationne les dépenses de sécurité sociale par le rationnement des soins, camouflé sous le terme de maîtrise comptable de la santé.   On répète que les dépenses croissent plus vite que le PIB. En réalité le PIB ne suit pas le progrès ni  les besoins nouveaux de la nation, notamment les hôpitaux ruraux, à cause du libre échange sans mondialisation des salaires, ni la maitrise des taux de changes, ni l’universalisation des dispositions environnementale ou de sécurité, ni du social.
Il est normal que la croissance des dépenses de santé soit plus élevée que celle du PIB si celui-ci est amputé du montant de la consommation des produits importés, du produits des machines intelligentes, ce qui entraîne du chômage, une insuffisance des recettes sociales un déséquilibre du budget 
Henry Guaino : “ L’autocensure est devenue la règle d’or du discours politique. Les gestionnaires ont pris le pouvoir . ... les gestionnaires ne croient qu’aux chiffres, même quand ils sont faux. Ils les appliquent scrupuleusement, comptablement, arithmétiquement, contre le laxisme, même quand il n’y a pas de laxisme. Ils font leur métier. Sur tous les fronts : la monnaie, le budget, les salaires, le service public, la protection sociale, l’école, l’armée, la justice... Les gestionnaires font ce qu’ils savent faire : ils rationnent ” ( p. 26- 27 ) .
Il faut faire la désinflation compétitive pour la rendre plus efficace, il faut dépenser moins. Le martèlement incessant de ces dogmes nous éloigne de la vérité et nous conduit à une “conception réductrice de la France”.
   Henri Guaino définit les attaques contre la sécurité sociale : « Il y a une logique dans ces politiques : en étranglant l’État providence, en l’acculant à la faillite, elles justifient son démantèlement et le rétrécissement des politiques publiques. Vieille ruse : “ Qui veut noyer son chien... ” ». ( p. .30 ). 
“ La dépense de santé est dénoncée comme une forme d’appauvrissement. Moralité : le secret de la prospérité, c’est de fermer le plus possible d’hôpitaux ”...

 « Les gouvernements refusent les poursuites personnelles conformes à la loi et seraient efficaces par leur exemplarité. Il préfère les sanctions collectives. C’est du marxisme. Il ne veut que réduire la dépense sans se soucier réellement de la qualité des soins de son discours démagogique. Ce qui compte c’est le rationnement global, non la justice, non l’humain, ... comme sous l’occupation” Raoul louis Cayol dans Une ère nouvelle de l’humanité.
“ Le CERC, centre d’étude des revenus et des coûts, a été fermé en 1994 pour avoir mesuré de trop près la croissance des inégalités et compté onze millions de Français en situation de fragilité sociale... la pensée unique fait son tri… Les fondamentaux sont bons.. Le chômage est un problème secondaire, un coût d’ajustement, le prix à payer pour la stabilité monétaire et pour la compétitivité.. ”Une nouvelle ère de l’humanité (  DEFI  livre I  ).

Le libéralisme de Rueff et Allais

« Comme Jacques Rueff, Maurice Allais est un libéral qui admet des interventions de l’État pour limiter certains excès du libéralisme. Il en avait été de même de Roosevelt ». Raoul louis Cayol. Éradication du chômage ( DEFI . Livre VII ).

 

 

 

COMPROMIS DE LUXEMBOURG

 

Déclenché à cause d’un désaccord sur la Politique Agricole Commune, “la crise de la communauté Économique Européenne en 1965, au cours de laquelle la France s’est abstenue de siéger au Conseil du 30 juin 1965 au 7 avril 1966, a une signification essentielle. A l’issue de la crise, un accord s’est fait lors du conseil extraordinaire de Luxembourg des 28 et 29 Janvier 1966 sur un texte dit Compromis de Luxembourg. Il interprète, mais ne modifie pas, le traité de Rome. En fait, il résulte de cet accord que, lorsqu’il s’agit d’intérêts très importants, toute décision doit être soumis à un accord unanime 

 

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