Zone de Texte: pourquoi pas le SMIC) en utilisant autrement l'aide à l'emploi. Selon mon idée, cette mesure serait susceptible d'augmenter le capital travail par le travail peu rentable mais formateur en vue d'autres fonctions. Je crois que le travail des personnes non qualifiées serait formateur si les intéressés étaient encadrés par les anciens salariés qui préféreraient s'employer à cette tache durant quelques temps plutôt que de partir en préretraite. Exemple : dans le domaine de la santé, à l'hôpital, des femmes de ménage suivent des cours pour devenir aides-soignantes . Par d'autres cours plus complets, ces dernières peuvent devenir infirmières. C'est parce qu'elles baignent dans ce milieu de travail hospitalier qu'elles peuvent progresser. Pourquoi cela ne serait-il pas possible dans les autres branches de l'activité humaine ?

Yves Griveau :  «Vaste débat. Pour ma part, lorsque je défends l'existence d'un salaire minimum, je mets d'abord l'accent sur le fait que le modèle d'offre et demande s'applique mal au travail, qui est pour l'essentiel de la population le seul moyen de vivre. Le revenu social complémentaire a d'autres effets pervers que le salaire minimum. Et nous avons vécu trente ans avec salaire minimum et le plein-emploi. Pour ma part, il me semble souhaitable que le SMIC cesse d'être un argument politique. Il faudrait qu'il soit négocié par les partenaires sociaux. L'État ne garantissant que son pouvoir d'achat en l'absence d'accords. J'ai fait état de ces propositions sur fsp et fse. Par ailleurs, il faudrait développer plus largement l'intéressement du salarié à l’accumulation du capital ».
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De FF : OBJET : Lamentable 
«    Bonjour, 
   Comme j'aime bien avoir votre point de vue, Que pensez-vous de cette lamentable mise en scène du président Algérien en France. ? Personnellement je suis écœuré, Ça donne envie de vomir !!! FF. »
  
Réponse de RLC : « cela fait quelque chose après tout ce qui s'est passé. On ne peut oublier plus de cent mille innocents égorgés (hommes désarmés, enfants, femmes) en plus du martyre des moines de Thibérine parce qu'ils représentaient la FRANCE CHRETIENNE, sans que le pouvoir (aux mains de l'armée dont le président algérien est le prisonnier/complice) ne soit capable de faire respecter la justice. Des témoins disent avoir vu des crimes affreux se commettre devant les casernes sans que jamais aucun soldat n'en sorte. 
L'Algérie est dans un état de délabrement inouï après presque 40 ans de pouvoir FLN protégé par la "constitution" car, pour être éligible, il faut avoir appartenu au… FLN (avoir fait la guerre contre la France ). 
Je rends hommage aux soldats d'origine algérienne morts pour la France. Mais je ne pense pas que B.… et ses généraux (corrompus) soient capables de se sacrifier ... ni pour la France ni pour l'Algérie. Ils se contentent de mettre l'argent dans la poche et durer...    L’armée commande... (même les assassinats disent des algériens). Certains souhaitent que nous revenions ! 
Mais les voies de la diplomatie sont impénétrables et la France a une vocation méditerranéenne qui n’exclut pas l'Algérie. Cependant, il faudrait voir pourquoi ils s'adressent à nous plutôt qu'aux Américains (qui gèrent le pétrole trouvé avec l'argent des Français) et déterminer les termes de l'échange qui ne peut être un nouveau marché de dupes. Si j'en avais les moyens, ce n'est pas en Algérie que j'investirais et ce n'est pas là que j'irais travailler. Il faudrait de fortes garanties internationales et militaires. Seule une présence militaire franco-européenne pourrait permettre un début de remise en ordre (avec toutes les difficultés que nous connaissons au Kosovo).
Réponse de FF. : « Merci pour votre réponse qui correspond tout à fait avec ce que je pense. Je suis dans cette affaire écœuré par nos politiques, de gauche comme de droite. C’est en dessous de tout !! Rien au sujet de l'insulte faite aux Harkis, traités de collabos ... Et quand en plus ils demandent à la France de faire des excuses pour les erreurs du passé !! Personne ne réagit ... On est devenu des minables et malheureusement il n'y a plus personne en face pour relever le niveau !! Quand on voit l'état de délabrement de l'opposition, les querelles entre de Villiers et Pasqua et l'effondrement du FN, on se demande qui va pouvoir nous sortir de cette spirale ...Franchement, je ne suis pas optimiste pour les dix prochaines années. La France risque de devenir le LIBAN ou l'ex YOUGOSLAVIE. Le jour où les français en auront marre d'être pris pour des imbéciles, la réaction risque d'être violente. L’histoire est un perpétuel recommencement ...J'espère que d'ici là j'aurais foutu le camp d'ici ...Pour ma fille c'est déjà fait. Bien amicalement F F »                                            
Solidarité et Progrès : Benoît Chaliffoux : « Je voudrais préciser d'emblée que nous sommes un mouvement politique déjà constitué et ayant mené, à l'échelle internationale, depuis plus de trente ans, une résistance aux pouvoirs financiers néo-féodaux qui ont amené Nixon à rompre avec le système de Bretton Woods.
L'économiste américain Lyndon LaRouche a tenté, au cours des années 70, en alliance avec les dirigeants du mouvement des pays non-alignés, de convaincre les pays occidentaux d'accepter l'idée d'un nouvel ordre économique mondial. Après bien des vicissitudes, nous avons décidé de poursuivre cette bataille sous la forme d'une campagne pour un nouveau Bretton Woods...

 Suite par le courrier du 31 juillet 2000 :
...Pour la création monétaire ex-nihilo, il faut bien s'entendre sur ce que cela veut dire. L'idée d'émettre de la monnaie sous forme de ligne de crédit peut être une bonne chose et serait même nécessaire à l'heure actuelle, mais à condition de s'assurer qu'il y ait une contrepartie productive. C'est-à-dire que l'État doit s'assurer que la majorité de ces lignes de crédit soient accordées aux entreprises privées ou publiques pour des projets précis, dans le cadre d'un plan d'investissements productifs préalablement discuté au niveau national. 
Une certaine possibilité d'émettre de la monnaie ex-nihilo par les banques peut être accordée si certains ratios entre leurs réserves et les prêts accordés sont respectés, dans la mesure où il est désirable de maintenir tout de même une certaine flexibilité. 

L'État ne peut contrôler tous les prêts à priori, mais il doit défendre jalousement son droit de regard et de réglementation. Le problème de création monétaire "ex-nihilo" proprement dit s'est posé pour la première fois au cours des années 60, dans le cadre de la croissance effrénée de la bulle des eurodollars. Les eurodollars créés sur papier l'étaient hors du contrôle de tout État, et c'était bien là l'objectif poursuivi par l'oligarchie financière. Avant les eurodollars, les banques américaines pouvaient créer de la monnaie ex-nihilo, mais il s'agissait surtout de lignes de crédits s'étendant au-delà de leurs réserves mais en deçà d'un certain ratio, dans la mesure où tout cela se faisait sous le contrôle de l'État, dans le cadre de la Législation Q aux États-Unis ». 
Intervention de RC dans une discussion sur le chômage sur fr.soc. économie le 25 AOUT 2000 
Bonjour,
la vérité est une pièce qui a deux faces pour le chômage comme pour beaucoup d'autre choses. On n'avancera pas en se voilant la face pour ne pas voir toute la vérité : salariés, syndicats, chômeurs et RMIstes, employeurs, concurrence étrangère dont on ne parle presque jamais quand nous évoquons le chômage alors que des travailleurs sont obligés de bosser 50 heures par semaine pour 300 à 400 francs par mois dans certains pays , et bien entendu, les dirigeants de la mondialisation qui imposent cet « esclavage » pour contenir les salaires (sans omettre qu’il y a des revendications salariales parfois impossible à satisfaire dans une situation économique régionale ou concurrentielle donnée). Il faudrait que dirigeants patronaux et salariés deviennent raisonnables et cela passe par la participation/association travail-capital comme le souhaitait Charles de Gaulle. Pourquoi les salariés n'auraient pas leur mot à dire dans les conseils d'administration ? Pourquoi refuser aux salariés les stock-options qui ne coûtent pratiquement rien à l'émission et sont un chèque à tirer sur la plus-value FUTURE de l'entreprise ? Pourquoi ? Les questions sont complexes certes. Mais il serait possible de faire mieux en étant (de chaque coté) un peu plus raisonnables.
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Yasemin <yasemin@online.fr> a écrit dans le message :
LDrn5.164$Qm1.817196@nnrp1.proxad.net...
 « Bonjour, par qui ces enquêteurs de l'INSEE sont payées ? Il faut le faire quand même de mettre dans le même sac les personnes qui ne souhaitent pas travailler pour des raisons personnelles et celles qui n’ont pas choisi de ne pas travailler !
Le problème des enquêtes et des statistiques, c'est qu'on peut leur faire dire ce qu'on veut. Tout dépend de ce qu'on veut faire ressortir, de la formulation des questions et de quel côté on se place.
Amicalement
Yasemin »
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"Laurent" <Laurent@aol.fr> wrote in message
« Malgré une décrue notable, le chômage demeure un sujet explosif en France. Une étude de deux chercheurs de l'Insee montrant que 57% des sans emploi en France, soit 1,82 million d'individus, ne souhaitent pas retravailler a ainsi provoqué des turbulences et un tollé syndical au sein de l'institut de prévision. Les syndicats reprochent aux auteurs, Guy Laroque et Bernard Salarié d'utiliser un modèle qui laisse supposer "que la protection sociale est un encouragement à la fainéantise".
S'il ne nie pas avoir abordé un sujet sensible, Bernard Salarié, un des auteurs de l'étude, estime que son travail, qui s'appuie sur les données fournies par l'enquête emploi de mars 1997, a été mal compris.
"Nous avons fait un travail qui nous a pris plus de deux ans et qui est scientifiquement sérieux. Cette enquête a été interprétée comme faisant seulement référence aux chômeurs. La catégorie sans-emploi comprend 
également les personnes qui volontairement ne travaillent pas », explique-t-il dans un entretien à Reuter.

Il cite ainsi l'exemple d'une femme qui reste chez elle pour garder ses enfants, elle n'est pas chômeuse mais elle est classée dans la catégorie sans emploi. Bernard Salan évalue à un peu moins de 50% le nombre des chômeurs qui refusent de retourner dans le marché du travail mais il souligne qu'en aucun cas il s'agit de "fainéants".
 "Ces gens-là ne sont pas des fainéants. Ce sont simplement des individus qui sont parfois placés dans des situations telles que reprendre un emploi ne leur apporterait que des sommes dérisoires. Des personnes qui sont piégées par le jeu complexe des prélèvements fiscaux et des transferts sociaux, qui peuvent décider que ça ne vaut pas la peine d'aller prendre un emploi pour quelques centaines de francs de plus, mais en aucun cas cela signifie qu'elles sont fainéantes".
Bruno Jambart, chercheur à l'institut de sondage IFOP, n'est pas étonné par les remous provoqués par cette étude. "Toutes les études montrent que malgré la baisse des demandeurs d'emplois, le chômage reste, avec les inégalités et l'exclusion, la principale préoccupation des Français", déclare-t-il à Reuters en rappelant la polémique récente entre gouvernement, patronat et syndicats sur la réforme de l'assurance chômage.

 Il souligne que les sondages montrent aussi que les Français attribuent le chômage à des raisons externes, comme la conjoncture ou la politique de recrutement des entreprises, et que la responsabilité du chômeur lui-même n'est citée que par une minorité des sondés.

Dans une lettre ouverte au directeur général de l'Insee, Paul Champsaur, les syndicats de l'organisme ont demandé, sans succès, de désavouer l'étude des deux chercheurs. »

 "Sur le fond il n'y a aucune raison de désavouer ce travail scientifique", estime Michel Jacode, directeur de la diffusion de l'institut de la prévision
( source Yahoo et Insee)
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Courrier d’une « citoyenne » :
« Bonsoir Raoul,
Félicitations pour ton site, non seulement il est bien construit, jolies couleurs de surcroît, de plus contient des sujets riches de vérités. La vie des sociétés oui, mais laquelle ?.........
Tu l'expliques parfaitement, ce que la militante que je suis, n'aurait pas fait mieux. Tu parles de tout ce qui est essentiel sur terre et pour tout humain, qui se considère encore comme tel...
Bien à toi ».

Denis REPOSEUR
mardi 29 août 2000 18 :54

« Bonjour, 

Je viens de passer 1/2 heure sur votre site et je vous félicite pour votre travail. 

Votre ligne de pensée est proche de la mienne. Dès que vous publierez votre travail, tenez-m’en informé, j'y souscris avec plaisir. 

Comme vous, je ne suis qu'un simple citoyen avec un tout petit peu d'expérience très variée et je réfléchis depuis quelque temps sur l'évolution de notre pauvre monde. Je viens de finir le livre de Susan George "Le rapport Lugano" qui certes défonce pas mal de portes ouvertes mais qui est très troublant. Je connais assez bien la Chine pour y aller 4 à 5 fois par an pour mes affaires et l'on y trouve les séquelles du libéralisme sauvage. Chômage, problèmes écologiques, répartition anarchique de la richesse... Je pense que ce phénomène est une résultante "mécanique" du libéralisme-capitalistique. Que pensez-vous du livre de cette madame ? 

Comme vous, je pense qu'il faut être courageux et secouer le cocotier, s'organiser entre états et ne pas laisser faire les grands manipulateurs, faire une meilleure place à l'homme... mais comment ? 
Cordialement 

Denis REPOSEUR
Directeur Général du Centre Euro Chinois pour la Coopération et le Développement - Euro Asia Services.



La mondialisation est un processus qui fut préparé par des fonctionnaires Envoyé : vendredi 1 septembre 2000 00 :26 
Par Dodd. 

« Contrairement à une idée fort répandue dans nos contrées, la mondialisation n'a jamais été le fait des multinationales ni d’une mystérieuse nébuleuse d'actionnaires !

 La mondialisation est un processus qui fut préparée par des fonctionnaires, décidée par des fonctionnaires, mis en œuvre par des fonctionnaires, et réglementée par des fonctionnaires. Et actuellement, toute la puissance de l'État - et de ses milices - est mise au service de ce processus dont le but ultime est le gouvernement mondial régi par un Parti Unique, une Monnaie Unique et un Pouvoir Unique.
 
 1 ère étape
 La préparation est surtout l'œuvre de la Trilatérale qui a notamment essaimé en Europe sous la forme des Bilderberg et autres groupes plus ou moins occultes réunissant à peu près tout ce qui dispose d'un pouvoir, protégé par l'État, sans avoir jamais été élu par quiconque : actionnaires institutionnels, banquiers institutionnels, rois et reines en fonction, hauts fonctionnaires d'Euromerde, etc.

 Extrait du discours de David Rockefeller, fondateur de la Commission Trilatérale, devant la dite commission, en 1991 :
 "We are grateful to The Washington Post, The New York Times, Time Magazine and other great publications whose directors have attended our meetings and respected their promises of discretion for almost forty years. It would have been impossible for us to develop our plan for the world if we had not subject to the bright lights of publicity during those years. But, the work is now much more sophisticated and prepared to march towards a world government. The supranational sovereignty of an intellectual elite 

and world bankers is surely preferable to the national autodetermination practiced in past centuries."

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