Zone de Texte: RETOUR DE LA TUBERCULOSE :

Le brassage des populations misérables, déjà malades avant de pénétrer clandestinement ou non clandestinement en France ; en provenance de l'Europe de l’Est, de Russie ou d’autres parties du monde, a entraîné le retour de la tuberculose.  

La pauvreté, le manque d'hygiène ou l’extrême misère dans laquelle vivent certains malheureux immigrés clandestins ou légaux, ou les personnes ayant abandonné tout lien avec la société - SDF - entraîne une recrudescence (reconnue) de la Tuberculose, alors que ce fléau avait été quasiment éradiqué, grâce à la vaccination par le BCG dès les premiers mois après la naissance. 

L’extrême perméabilité des frontières de l’Europe et la suppression des frontières nationales, ne permettent plus un contrôle sanitaire suffisant.
 
Le dépistage des cas de tuberculose est particulièrement difficile parce que les sujets atteints sont souvent des vagabonds ou des clandestins qui ne tiennent pas à se faire connaître.

La Loi Pasqua instituait l’obligation de traiter ces malades gratuitement dans nos hôpitaux. Mais cette Loi, soucieuse de considérations humanitaires et préventives, entraîne des abus qui incitent des étrangers malades à venir se faire soigner gracieusement en pénétrant en France. 

La question est délicate. La Commission Parlementaire de la Santé a travaillé sur un projet qui avait pour but de traiter dans nos hôpitaux les immigrés clandestins, en cas d'urgence ou de contagiosité. 

D’après Vincent OLIVIER s'exprimant dans un article du journal Le Monde, cela ne suffirait pas pour tranquilliser des médecins travaillant dans les organisations humanitaires. 

A notre avis c’est  pourtant déjà beau que la République donne les soins urgents ou en cas de contagion, avant d'organiser le rapatriement sanitaire dans le pays d'origine. 

Les autorités ont toujours laissé les médecins traiter les malades ….
Pour rapatrier, il faut connaître le pays d’origine. C’ est difficile quand l’immigré a « avalé » ses pièces d’identité d’origine ou ses «titres» l’autorisant à séjourner provisoirement. Il y a là un problème à résoudre pour faire honorer le coût d’hospitalisation (ADN à l’entrée)

Si nous écoutions certaines bonnes âmes, la France devrait soigner gratuitement tous les malades de la terre : ils n'auraient pour cela qu'à pénétrer sur le territoire. 

Pendant ce temps, le trou de la Sécurité Sociale continuerait à se creuser…Mais qu’importe ! Car en cette matière, on charge constamment la barque France sans se préoccuper du financement. 
C’est un bon moyen pour créer le chaos et des troubles de l’ordre Public.

Une solution serait que les personnes voyageant en Europe soient obligées de prouver qu’elles ont une assurance d’assistance (comme Mondial Assistance) pour le cas de maladie, soins d’urgence, rapatriement sanitaire. La gauche ne cesse de s’opposer aux mesures habituelles d’identification (empreintes digitales ou génétiques par un prélèvement de salive). 

Les mesures de contrôle sanitaire aux frontières et l’assurance rapatriement sont une nécessité impérative, y compris pour les citoyens de nos anciens départements, territoires ou colonies devenus indépendants. 
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Zone de Texte: Stop à la naïveté coupable !

La tuberculose revient aujourd’hui avec les migrants 
des pays de l’est et d’autres contrées pauvres
Avec appel d’air des malades étrangers.
La propagation des fléaux modernes nécessite 
Le contrôle sanitaire aux frontières
Et l’assurance rapatriement sanitaire 
pour toute catégorie d’entrant.

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RETOUR DE LA TUBERCULOSE :

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