REFLEXION SUR LA CAPITALISATION

des 2e et 3e piliers

Et l’Association Capital-Travail

Raoul louis CAYOL

 

 

Les manipulations monétaires et les escroqueries comme les supprimes, les crashs boursiers, les périodes de récession, rendent prudents à l’endroit de la capitalisation.

 

Il faut moraliser la finance et la bourse par des lois sévères car la capitalisation sérieusement gérée pourrait apporter de la sécurité à la famille et à la retraite, face aux

les fluctuations démographiques.

 

Parmi les lois proposées, on compte:

· la taxe TOBIN contre la spéculation;

· Un PER autour de 7 pour les actions;

· L’interdiction d’acheter en bourse à crédit et de vendre sans détenir les actions;

· Un gendarme de la Bourse et de la finance attentif à tout manquement à ces règles et à la probité

 

L’avènement proche de la révolution industrielle par le développement exponentiel de l’intelligence artificielle, rend

 

l’Association Capital-Travail

 

 

et la sécurité financière familiale plus utiles que jamais

 

 

Un refus des syndicats de faire participer les salariés à l’accumulation du capital favorisée par l’intelligence artificielle à laquelle les salariés participent par leur travail d’accompagnement, serait une erreur regrettable.

 

Les actions distribuées gratuitement aux salariés pourraient être gérées individuellement ou déposées dans un fonds salarial de pension par capitalisation 

 

La participation à un portefeuille important et diversifié permet de lisser les rendements, les bulles et les crashs boursiers.

 

Les crashs financiers, les crises, ne durent jamais une génération !

 

Les versements progressifs profitent des périodes de baisse des cours comme ils subissent les périodes de hausse, ce qui permet de lisser le prix de revient des actions dont le coût devient moyen.

 

 

Un fonds de pension capitalise durant la période où le nombre des cotisants est inférieur au nombre des retraités.

 

Lorsque le montant des cotisations et des allocations de retraites sont égaux, le fonds fonctionne comme une retraite par répartition et bénéficie des intérêts et des plus-values latentes du capital acquis: le portefeuille prospère.

 

Lorsque le nombre des cotisants baisse, le gestionnaire vend des instruments monétaires pour payer les retraites.

 

Sauf catastrophe financière, il est pratiquement impossible que les fonds dont le nombre des cotisants baisse, ne soit pas en mesure de payer les retraites. Il est en outre possible de constituer une mutualisation de sécurité entre les fonds.

 

Il est possible d’indexer les cotisations et les retraites sur le coût de la vie comme cela fonctionne pour la retraite complémentaire des pharmaciens (qui est un système en points de retraite fonctionnant bien)

 

La gestion collective mutualisée de fonds de retraite serait un moyen de protéger la valeur de l’épargne, assurer une retraite, voire permettre la transmission d’un patrimoine familial de sécurité hors fiscalité (3e pilier) soulageant l’assistanat de l’État régalien, soudant les familles.

 

La loi doit fixer les règles de transparence, le fonctionnement, le contrôle de la gestion et les responsabilités du gestionnaire.

 

Devant les progrès de l’intelligence artificielle demandant de capitaliser pour produire moins cher avec moins de main d’œuvre, les salariés ont intérêt à participer progressivement et gratuitement à l’augmentation du capital de leur entreprise à partir des bénéfices.  Le capital physique travaillera en partie à leur place mais ils devront en prendre soin avec beaucoup d’attention et en tirer les bénéfices.

 

Page  précédente              SOMMAIRE                  PROPOSITIONS                           Page suivante

 

 

ASSOCIATION CAPITAL -TRAVAIL                            CSVA                                   Éloge du protectionnisme

 

 

 

Philippe SEGUIN

https://www.youtube.com/watch?v=FyveXiqgMkk

 

 

CONTACT

 

 

 

35